Vous voudriez vous endormir dès que vous vous couchez, en finir avec les ruminations mentales ou l’angoisse de ne pas dormir ?Sachez qu’il existe des remèdes aux insomnies ce qui peut vous changer la vie et ce n’est pas qu’une vue de l’esprit !

Les remèdes

Une étude canadienne révèle que les meilleurs remèdes contre les insomnies sont la Psychothérapie, l’HYPNOSE, les TCC, la méditation et le yoga. C’est donc à chacun de trouver sa voie et la méthode qui lui convient le mieux.

Seule ou en accompagnement d’une psychothérapie, l’HYPNOSE est une méthode douce, non intrusive, sans effet indésirable pour la santé. Elle agit directement sur les causes inconscientes des insomnies et permet d’actionner les bons leviers pour un mieux être.

Les insomnies les plus fréquentes

Selon Charles Morin, professeur à l’école de psychologie de l’université de Laval au Québec et chercheur à l’institut de santé mentale de Québec, les insomnies psychophysiologiques et l’insomnie paradoxale sont les plus fréquentes.

Les premières sont dues à « une forme d’anxiété conditionnée » dans laquelle la peur de manquer de sommeil tient paradoxalement éveillé. Elle est entretenue par toute sorte de croyance sur le sommeil, comme la certitude de devoir dormir 8 heures d’affilées sans interruption pour se réveiller en forme le lendemain. Cela renforce l’appréhension de ne pas dormir et donc l’éveil et conduit parfois à prendre un somnifère tardivement pour être sûr de s’endormir. Le cercle vicieux s’entretient de lui-même.

Il existe une autre forme d’insomnie, l’insomnie paradoxale durant laquelle les personnes sont convaincues de ne pas avoir fermé l’œil de la nuit alors qu’en réalité elles ont dormi quelques heures.

Que dire des somnifères et anxiolytiques ?

La prescription de somnifères et d’anxiolytiques comme les Benzodiazépines est malheureusement trop systématique alors que leur efficacité est contestée et que leurs effets secondaires sont connus. Les spécialistes du sommeil ont suffisamment de recul pour attester des conséquences négatives comme les pertes de mémoire, les troubles de l’attention et de la vision, les problèmes d’équilibre et les accidents consécutifs.

Les somnifères agiraient comme des anesthésiants et non comme des médicaments capables de reproduire les cycles du sommeil, d’où l’entretien de nouvelles croyances sur leur pouvoir supposé.

D’un point de vue légal

La prescription doit être aussi brève que possible, notamment : de 8 à 12 semaines dans les troubles anxieux, réduction de posologie comprise ; de 2 à 5 jours en cas d’insomnie occasionnelle et de 2 à 3 semaines en cas d’insomnie transitoire (excepté pour fluni trazépam et triazolam, dont la durée de prescription ne doit pas excéder 14 jours) selon l’agence Française de sécurité sanitaire des produits de santé le 7 septembre 2001.

Si elles sont prescrites à visée hypnotique, les benzodiazépines doivent être réservées aux « troubles sévères du sommeil, dans les insomnies occasionnelles ou transitoires »1, la durée maximale de prescription ne doit pas dépasser 4 semaines. De la même façon, pour les benzodiazépines à visée anxiolytique, le traitement doit être réservé aux « manifestations anxieuses sévères et/ou invalidantes »1, pas plus de 12 semaines incluant la période d’arrêt, et à la prévention et au traitement du delirium tremens, pour 8 à 10 jours.

Que faire alors ?

1. Le premier réflexe est de consulter son médecin traitant afin qu’il vérifie qu’il n’y ait pas une pathologie cachée (asthme, insuffisance cardiaque, apnée du sommeil…) ayant pour symptôme l’insomnie et nécessitant une prise en charge d’urgence.
2. Après avoir écarté tout risque de maladie, observé ses propres habitudes (nutritionnels, horaires, comportementales en soirée…), il peut être salvateur d’en modifier quelques-unes. On sait par exemple que manger léger, éviter l’alcool, se coucher à des horaires réguliers, fermer les écrans sont de bonnes attitudes à adopter. Il est prouvé que la lumière bleue produite par les écrans quels qu’ils soient, bloque la sécrétion de la mélatonine et donc l’arrivée du sommeil….
3. Apprendre à prendre soin de soi, de sa santé, ralentir le rythme en soirée sont des réflexes à adopter.
4. Choisir sa méthode dont l’Hypnose pour se libérer de ses croyances, de ses blocages, de ses soucis, se créer un espace de ressourcement pour retrouver rapidement des nuits paisibles et réparatrices.

Pourquoi l’hypnose ?

Il ne s’agit pas d’une baguette magique éradiquant le problème d’un coup, quoique pour certain(e), une à deux séances ont suffi à faire disparaître les insomnies, pour d’autres, il faut un peu plus de temps, moins de 10 séances dans tous les cas. Cette méthode apaise incontestablement et donne d’excellents résultats à court terme.

La clé de votre succès en Hypnose est de venir dans une démarche positive, car vous apprendrez toujours quelque chose d’important sur vous, c’est aussi de vous engager dans les séances et ce quand bien même vous n’auriez rien d’autre à faire que de vous laisser guider par ma voix, et cela tout le monde peut y arriver.

Si vous avez aimer cet article venez le partager sur Facebook ou via  http://www.christelledesouza.fr/contact/